Le mouvement (ou les mouvements) est resté assez petit jusqu'à ce qu'il se soit

Le mouvement (ou les mouvements) est resté assez petit jusqu'à ce qu'il se soit établi au cinquième siècle, avec très peu de manuscrits ayant été trouvés auparavant (les exceptions sont de Bamiyan). Selon Walser, «les cinquième et sixième siècles semblent avoir été un tournant pour la production de manuscrits». De plus, ce n'est qu'aux 4ème et 5ème siècles de notre ère que les preuves épigraphiques montrent une sorte de soutien populaire, y compris un éventuel soutien royal au royaume de Shan shan en plus comme à Bamiyan et Mathura. Pourtant, même après le 5ème siècle, les preuves épigraphiques qui utilisent le terme sont encore assez petites et sont notamment principalement monastiques, non laïques. À cette époque, les pèlerins chinois, par exemple Faxian, Yijing et Xuanzang se rendaient en Inde, et leurs écrits décrivent des monastères qu'ils appellent «Mahāyāna».en plus comme des monastères où les moines et les moines non mahāyāna vivaient ensemble.

Image 851A | Carte montrant les trois principales divisions bouddhistes. | Javierfv1212 / Attribution-Share Alike 3.0 Unported

Image 851A | Carte montrant les trois principales divisions bouddhistes. | Javierfv1212 / Attribution-Share Alike 3.0 Unported

Auteur : Yuri Galbinst

Références:

Histoire du bouddhisme: De ses débuts à son déclin en Inde

Histoire du bouddhisme au Myanmar: Du Mahayana au gréco-bouddhisme

Commentaires